les canotiers

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Format240x320 mm
Description

Ce carnet, le plus grand de la collection, mesure 240x320 mm soit légèrement plus grand que le format A4. Il est essentiellement à destination des illustrateurs, des dessinateurs ainsi que tous ceux qui souhaitent écrire sur des pages vierges. La reliure de ce carnet est faite à la main dans un petit atelier d'Aix-les-Bains. 

C'est un clin d’œil au tableau d’Auguste Renoir (1841-1919) : le déjeuner des canotiers, Huile sur toile de 130 x 173 cm, peinte en 1881. Il vous suffit de l'acheter pour en profiter.

Cette toile reflète l’insouciance des dimanches au bord de l’eau où, attablé entre amis, on mène une joyeuse vie. Œuvre peinte sur la terrasse de la maison Fournaise à Chatou, lieu où l’artiste prend souvent pension. C’est l’une de ses dernières grandes oeuvres de sa période impressionniste.

Caractéristiques

Format : 240x320 mm
intérieur : 40 pages.

120 g/m2 composé de 75% de pâte ECF et 25% de coton.

Couverture : souple (300g) gaufrée. 

Finition : Cousu avec un fil de laine rouge.

Un prédécoupage de chaque feuille est prévu afin d'utiliser vos œuvres indépendamment du carnet.

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Page prédécoupée

Pour pouvoir accrocher votre dessin, pour l'offrir ou pour simplement le rendre à votre prof d'art plastique, nous avons pensé à prédécouper chaque page. Il suffit donc de tirer avec délicatesse et votre chef d'œuvre quittera son carnet.

Un peu d'histoire

Auguste Renoir

(1841-1919)

Issu d’une famille de la région de Limoges, ses parents déménagent pour Paris où Auguste devient apprenti peintre dans une fabrique de porcelaine. Grâce à son salaire, il peut s’inscrire en 1862 à l’école des Beaux-Arts. En parallèle de cette école, il fréquente régulièrement l’atelier de Charles Gleyre où il se liera d’amitié avec entre autres Alfred Sisley et Claude Monet. Il est alors dans sa période impressionniste. On retiendra notamment Les fiancés, dit le ménage Sisley (1868), La loge (1874), Bal du moulin de la Galette (1876), Le Déjeuner des canotiers (1881). Cette œuvre, l’une des dernières de sa période impressionniste, représente la terrasse de la Maison Fournaise à Chatou. L’une des caractéristiques de sa peinture est l’utilisation d’une pâte plutôt épaisse en opposition au travail de Claude Monet.

La seconde partie de sa vie

À partir de 1881, il entre dans sa période sèche et profite de plusieurs mois de voyage dans le sud, notamment en Algérie et en Italie, où il découvre les maîtres de la Renaissance tel que Raphaël ainsi que les fresques de Pompéi. Il constate dès 1883 comme une cassure dans son travail. Il s’éloigne de l’impressionnisme en précisant davantage le contour de ses personnages. Cette période lui permet de produire entres autres Les Parapluies (1882-1884), Les Grandes Baigneuses (1884-1887).

Il évoluera désormais dans sa troisième et dernière période, celle que l’on appellera nacrée. Des effets de transparence et une fluidité plus importante viendront préciser son œuvre. On le remarque dans Les jeunes filles au piano (1892), La balayeuse (1899).

Souffrant de rhumatismes articulaires, il part chercher un climat plus clément dans le midi et s’installe à Cagnes-sur-Mer. Il a des difficultés à peindre mais il ne se décourage pas. Il est obligé de porter des bandelettes sur ses doigts paralysés pour tenir son pinceau. Sa peinture reste malgré tout d’une très grande qualité. Il s’éteindra en 1919 où il aurait, quelque instant avant de mourir, demandé des pinceaux pour peindre un bouquet se trouvant sur la fenêtre en précisant à l’infirmière : « je crois que je commence à y comprendre quelque chose ! ».

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